Je marche derrière un groupe de Japonaises habillées et maquillées de manière très sophistiquées, comme si elles allaient à une soirée de réveillon.
Elles suivent un guide ou, du moins, une personne qui les oriente et leur conseille de faire un tour dans une boutique qui, leur dit-elle, va leur plaire.
J'y entre à leur suite et je me demande comment ce genre d'endroits pourrait plaire à des Japonaises : la boutique est pleine de produits soit-disant japonais, de mauvais goût, qui peuvent séduire certains occidentaux.
Je perds de vue les Japonaises et je vais jusqu'au fond du magasin où se trouve le gérant.
C'est Mathieu Amalric, qui est en train d'expliquer à quelqu'un qu'il connaît qu'il est très content d'avoir trouvé ce poste : il a un contrat de début mai à fin octobre, n'a rien de spécial à faire et c'est ce qu'il lui faut.
Tout en faisant mine de m'intéresser à certains articles, je m'arrange pour me faire remarquer de lui mais je pense : De toute façon, il me croiserait dans la rue, il ne me reconnaîtrait pas.
Rêve du 10 avril 2016
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