Et un jour je me suis rendu compte que tu m'étais indispensable comme le pain et la maison et le lit et le rythme régulier du coeur, la respiration qui ne s'accélère pas. Et d'autres choses auxquelles on ne pense pas et qui existent de toute façon. L'appui inattendu qui permet de reposer son bras.
Vergilio Ferreira. Ton visage.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire