m'a rappelé le temps où le contraire était mon ordinaire.
Moi, par exemple, j'ai pour habitude de ne pas faire confiance aux individus qui portent des sandales du genre moine, je les tiens tous pour des imposteurs et des traitres; ni à ceux qui sont en bermuda ou en culotte courte (je parle des hommes), ce qui me conduit à ne faire confiance aujourd'hui en été à aucun homme ou presque, surtout en Espagne, paradis des tenues ignominieuses et éhontées.Javier Marias. Poison et ombre et adieu (Ton visage demain III).
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