je n'avais toujours pas d'inspiration mais, quand j'ai pensé je devrais peut-être arrêter d'écrire, ça a sonné comme
arrêter de vivre.
Quand il m'arrive de me réveiller de bonne heure, je me complais surtout dans l'idée d'une entière journée de solitude; d'une journée tranquille, où n'avoir pas à donner le change, me laisser paisiblement glisser dans les eaux profondes de mes pensées; naviguer dans le monde souterrain.
Virginia Woolf. Journal. 27 juin 1925
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