Sous ses paupières, veillent les films de Godard, qui sont ses amis d'adolescence, ses musées, ses galeries d'art, ses bibliothèques, son histoire du cinéma.
Comment ça s'appelle… quand il y a les innocents dans un coin, les coupables de l'autre… quand tout le monde a tout gâché, que tout est perdu, mais que le jour se lève et que l'air quand même se respire ? Cela s'appelle l'aurore, mademoiselle.
Chantal Pelletier. Et elles croyaient en Jean-Luc Godard.
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