Ils avançaient enlacés et souriants.
Arrivés à la hauteur de mon banc il la fit s'arrêter, la tourna vers lui en l'enveloppant dans ses bras.
Indifférents à moi, ils s'embrassèrent amoureusement.
Puis restèrent un moment, serrés l'un contre l'autre, seuls au monde, murmurant des choses douces au milieu de l'allée.
Leur bonheur était beau à contempler, je ne m'en privai pas.
Eux n'eurent pas un regard vers moi.
Ils reprirent leur promenade tranquillement, leurs cannes blanches les guidant.
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