mercredi 13 août 2014

Là, c'est le jour où j'ai pensé à Jean-Paul Kauffmann* en examinant l'étagère "novel en francès"

et où, malgré tout, je me suis dit que si mes ravisseurs s'approvisionnaient là, il ne faudrait pas que ma détention soit trop longue. 
*« La lecture plus que la littérature m’a sauvé. Les mots me suffisaient, ils instauraient une présence. Ils étaient mes complices. Du dehors, ils venaient à mon secours (…) Enfin, je pouvais compter sur un soutien de l’extérieur. Le sens était secondaire. »

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