Les jours qui suivirent sa mort, le petit blanc décréta que, dorénavant, le chat, ce serait lui.
Il voulut se coucher sur le canapé.
Pour rentrer, il se fit autant prier.
Sur nos genoux, il tenta de grimper.
Il n'y a que chez Marivaux que les domestiques parviennent à se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas.
Le petit chien, trop inconstant pour conserver un déguisement, ne put s'empêcher, à nouveau, de caracoler comme un poney un jour de fête nationale et redevint un va-nu-pied avant même de réussir à nous faire croire qu'il saurait tout régenter.
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