Le cours d'espagnol n'a pas lieu.
S. m'attend devant la salle pour m'en avertir et il me propose de l'accompagner chez lui.
Nous y allons à pied mais, finalement, nous nous arrêtons en chemin : des transats sont alignés le long d'une façade, sous un auvent.
Malgré le temps médiocre, des gens y sont déjà installés.
Non seulement P., qui est en train de parler français avec quelqu'un que je ne connais pas.
Mais aussi K. et K., que j'ai rencontrés la veille et à qui je fais remarquer que c'est exceptionnel de croiser deux fois d'affilée des touristes.
Plus tard, je m'en vais : je vais prendre le métro (ou le train ?).
Au bout de vingt minutes de voyage, je descends dans une station dont l'escalier donne directement dans un grand magasin (du type architectural des Galeries Lafayette de Paris).
Il s'agit d'une Fnac mais dans les rayons de laquelle il y a aussi des vêtements.
Je ne pensais pas qu'il y avait des magasins de cette taille ailleurs que dans une capitale.
Je me dis que, si en vingt minutes de train, je peux me rendre à Madrid, Ça change tout !
Rêve du 30 avril 2016
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