mercredi 4 novembre 2015

L'identification (9 : ma vie circonstancielle)

J'ai cherché sur internet des citations de Ortega y Gasset dont je pensais, à une autre époque, qu'il s'agissait de deux personnes comme Deleuze et Guattari, Calvin et Hobbes.*

*Saliendo de la estación de Atocha est un roman américain de Ben Lerner que je lis dans sa version espagnole grâce à la traduction de Cruz Rodríguez Juiz. Il existe en français, traduit cette fois par Jakuta Alikavazovic et publié aux éditions de l'olivier.
J'avais emprunté le recueil de nouvelles de José Luis de Juan pour son titre La vida privada de los verbos et comme je lisais encore mal l'espagnol, j'avais passé, finalement, plus de temps à imaginer ce que, moi, j'aurais écrit pour chacun des verbes de la table des matières. 
J'en avais, cependant, cité un extrait et, surtout, j'avais retenu la maxime de Ortega y Gasset que j'y avais trouvée :
JE SUIS MOI ET MA CIRCONSTANCE

A faire le tour de ma circonstance, j'avais préféré la renommer de ce terme dont l'ambiguïté dit à la fois et tout aussi bien les pieds coulés dans le béton armé et la capacité à agir : 
DéTERMINATION 

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