La beauté du point de vue n'aurait laissé personne indifférent. Ils admirèrent le ciel, l'eau et la terre, tout d'abord sans mot dire. Devant eux s'ouvrait un espace vaste. Ils dominaient la ville et ses collines harmonieuses, ici et là de vieux arbres méditerranéens et des palmiers, et des façades claires d'églises, et partout des dizaines de milliers de toits. (...)
Et l'immensité gris-bleu du Tage, aussi grand que la mer infinie mais plus beau, car on en voyait l'autre rive.
Antoine Volodine. Lisbonne dernière marge.
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